Mercredi 15 février 3 15 /02 /Fév 09:11
Gabriel Torres regardait les chiffres découpés dans l'inox brossé s'éteindre et s'allumer. La lueur orangée se déplaçait de gauche à droite, vers le chiffre immédiatement supérieur.

Agé entre quarante cinq et cinquante ans, Il était grand et son visage était long, ridé, taillé à coups de hache. Ses cheveux étaient courts, grisonnants. Il portait un costume sombre et une cravate bleu nuit rayée de lignes obliques dorées. Il tenait un attache-case et consultait sa Rolex.

Le numéro de l'étage apparut sur la deuxième ligne. Il y en avait plusieurs. Gabriel gravissait dans un cylindre translucide l'une des deux tours Petronas, à Kuala-Lumpur, le gratte-ciel le plus haut du monde.

Torres sortit de l'ascenseur. Une femme l'attendait, les mains croisées sur un dossier vert pomme qu'elle tenait contre elle. Elle faisait osciller un crayon entre ses doigts et son poignet était entouré de trois rangées de perles.

-Monsieur Torres ? Je suis votre traductrice.
-Oui, vous connaissez mon visage ? Demanda t-il avec un sourire doux et éclatant.
-Votre entreprise nous transmet les photos de ses collaborateurs...
-Biensûr... Bonjour, dit-il en serrant la main de la jeune-femme.
-Bienvenue, dit-elle charmée. J'espère que vous n'avez pas peur du vide. Il nous faut traverser la passerelle pour rejoindre l'autre tour. Elle doit être entre cent cinquante ou deux cents mètres. Je ne sais pas.

Clotilde Barmus portait un tailleur rose avec la jupe à mi-cuisses, des chaussures blanches à petits talons avec une lanière. Sa coifffure, châtain clair, était nouée en une tresse qui allait du front à la nuque, stoppée par un catogant large et blanc. D'infimes mèches couronnaient ses oreilles ornées de clips carrés et dorés au motif entrelacé. Elle avait des lunettes étroites qui mettait en valeur ses sourcils remarquablement bien dessinés. Ses yeux étaient de couleur noisettes et légèrement bridés. Elle avait un petit nez fier et une petite bouche épaisse et rose.

Elle parlait le chinois parceque son père, français, participait à la construction de barrages en chine et avait épousé une chinoise, sa mère. Elle était l'une des quelques ouvrières qui travaillaient sur ses chantiers pour justifier la politique du régime communiste en matière d'égalité des sexes face au travail. L'important était surtout qu'il furent nombreux et nombreuses à travailler pour la santé du pays.

Bref, Clotilde parlait Chinois contrairement à Gabriel. Monsieur Wang, celui avec lequel Torres avait rendez-vous, ne parlais pas Anglais parce qu'il était de la vieille école, l'autarcique.

Torres et Barmus arrivaient à l'une des innombrables portes de l'étage. Une secrétaire ouvrit et lança quelques mots que seule Clotilde put comprendre. Elle était frèle, le visage et les cheveux longs. Elle avait dû dire que Monsieur Wang nous attendait.

C'était un homme rond, de taille moyenne, les cheveux bruns en brosse, le visage sympatique. Il était vêtu d'un costume gris et d'une cravate sombre rayée horizontalement de rouge.

Son bureau était vaste, meublé dans un style arabo-asiatique, moderne et sophistiqué, un canapé en fer à cheval, ivoire, en face d'un écran de visio-conférence, des plantes exotiques, du verre, des mirroirs, des motifs islamiques, etc.

-Il fait chaud ici, dit Clotilde en s'asseyant sur le côté du canapé exposé à la baie vitrée.

-Il paraît que c'est à cause de la pollution, dit Wang dans sa langue maternelle.

-Monsieur Wang me propose d'ôter ma veste, mentais Clotilde. Elle se retrouva avec un haut de soie à fines bretelles et ouvrit son dossier en coinçant le crayon dans sa bouche pour le débouchonner.

-Vous faites comme vous voulez, Monsieur Wang est votre patron, dit Torres, stupéfait en voyant la gorge claire et le visage illuminé de la traductrice.

-Monsieur Torres dit qu'il n'est par contre le metissage si les atouts des européennes s'additionnent à ceux des asiatiques.

-Hé bien, on va voir si la compétence professionnelle n'est pas ne s'en trouve pas affectée. Venons-en à notre projet, répondit le chinois.

-Monsieur Wang, vous demande si vous ne préférez pas les poitrines discrètes de ses compatriotes ? Clotilde bomba le torse avec un air faussement désaprobateur.

-Vous n'êtes pas obligée de faire ce que vous dit Monsieur Wang...

-Monsieur Torres vous dit que si elle a les jambes des asiatiques se sera parfait.

-C'est vrai... WorldCable, commençons par cela, révise à la hausse son contrat pour l'équipement en réseaux numériques pour la future voie conquise sur la mer. Le terrain est fragile...

Clotilde se leva et remonta sa jupe jusqu'en haut. Gabriel entrevu son slip.

-Assise la-dessus, ma jupe me coupe la circulation sanguine... Du coup, monsieur Wang vous dit que vous n'êtes pas concentré...

-Si, si, tout à fait ! Si j'ai bien compris, le terrain est imbibé d'eau de l'océan ?

-Monsieur Torres dit qu'il lui en faut d'avantage, là d'où il vient, il fait si chaud...

-Précisémment, les cours d'eau rejoignent la mer et il suffit de les rassembler, rediriger et d'assècher le reste. Cela cause un petit surcoût mais il nous permettera de voir plus grand ensuite

-Monsieur Wang vous dit que, dans ce cas, vous apprécierez de voir les seins de ma traducrice.

-Sachez que je désapprouve cette façon de... Bref, il faudra contractualiser cette sorte de compensation que vous semblez me proposer.

-Monsieur Torres vous dit qu'il voit déjà la culotte de votre employée et que cela... Le trouble beaucoup.

-Hmmm... Vous seuls proposez de la souplesse dans votre solution technique et elle est bien utile par rapport à ce contre-temps, donc nous restons avec vous.

-Monsieur Wang vous demande si vous aimez les pubis velus ou pas et... Regardez.

Clotilde se leva, remonta sa jupe bien haut, baissa sa culotte et l'enleva.

-Oui, c'est très bien comme cela... Votre cas ressemble à un autre sur lequel on a déjà tablé. Pour tout vous dire, on a prévu le coup. On a utilisé un système de congélation, zone par zone, dans lequel on a percé tout ce qui a été necessaire au drainage et au résau. Ensuite le terrain devient propice au travaux.

-Monsieur Torres vous dit qu'elle peut carrément ôter sa jupe pour bien apprécier la taille fine de votre collaboratrice.

-Bon, elle ne pourra pas aller plus loin... On est au courant de ce que vous avez fait sur l'ile voisine et on aimerait connaître votre surcoût...

-Monsieur Wang Vous dis que sa secrétaire lui dit qu'elle mouille toujours quand elle est en compagnie de beaux hommes.

-Vraiment ? Le surcoût que la préparation du terrain que nous vous proposons sera, peu à peu, rentabiliser avec la réalisation des divers projets que vous voudriez bien nous confier...

-Monsieur Torres vous dis que votre secrétaire est excitante est qu'elle semble, elle même, bien excitée.

-Apparemment... Il se trouve que le PDG de la société à laquelle vous avez offert vos services est un de mes amis et c'est lui qui nous à guidé vers vous. Il m'a assuré qu'il n'aura pas de surcoût dans l'immédiat...

-Monsieur Wang vous dis qu'il surprend souvent sa traductrice en train de se caresser avec son crayon, comme cela...

Clotilde passa son crayon dans sa fente, écarta ses lèvres, excita son clitoris avec la gomme rouge puis fit aller et venir le bout de bois. Elle glissa ses fesses vers le bord du canapé, cuisses ouvertes .

-Beau spectacle... Il faut bien comprendre que la préparation empêchera toute utilisation du terrain pendant l'opération. Il y aura un réseau se conduits qui ammèneront de l'air refroidi depuis un générateur unique, ou deux, donc en araigné, d'où l'inconvénient.

-Monsieur Torres vous demande si cela provoque chez vous une certaine émotion quand vous voyez un tel spectacle ?

-Hein ? Heu oui. Je ne suis pas de marbre... Bon, les projets que nous vous confieront seront determinés pendant la phase de préparation du sol. D'où une perte de temps relative...

-Monsieur Wang vous demande si vous seriez gêné si son employée vous soulageait en sa présence.

-Non. Restez, dit-il en forme de refus.

Clotilde se leva, nue, et fit le tour de la table en verre et se mit à genoux.

-Je voulais dire... Je ne veux pas être... soulagé !

-Monsieur Torres vous dis qu'il ne refuserait pas que vous en profitiez si cela vous est nécessaire...

Wang vint s'asseoir au côté de Torres. Clotilde fesait courir la peau sur la verge de Gabriel tandis qu'elle dégageait la braguette, le slip, le membre de son patron. Torres bascula en avant pour qu'il aille sur la langue de la demoiselle. Ce fut ensuite le tour de Wang

-J'avoue avoir l'esprit quelque peut embrumé dans cette situation...

-Monsieur Wang vous demande si elle va accepter d'aller plus loin ?

-C'est à vous de voir mademoiselle...

-Monsieur Torres vous demande si vous voulez lui faire un petit plaisir ?

-C'est bien normal...

Clotilde s'allongea sur la petite table translucide, la bouche rougie, souriante et ouvrit ses cuisse dont elle caressa l'intérieur. Wang se mit à genoux et embrassa la toison, glissa sa langue entre les lèvres, plus profondément, suça le clitoris. Gabriel vint mêler sa langue à celle de la traductrice, couché sur la table. Elle lui tenait la tête puis celle du Chinois.

-Monsieur Torres dis qu'il est d'accord s'il la baise ensuite.

Wang se retira et laissa le sexe bèant et sensible à Gabriel qui se pencha sur elle, prit ses jambes sur ses épaules et la pénètre d'un coup, tendrement mais jusqu'au bout. Les yeux de la secrétaire étaient revulsés et des cris se bousculèrent dans sa gorge d'où un seul petit grondement sourd surgit.

-Qu'il ne se gêne pas, j'espère bien en profiter par la suite.

-Monsieur Wang vous dit qu'elle va le sucer maintenant.

Le chinois vint soulever la tête de la traductrice qui remuait dans le vide. Il la tourna vers son sex tendu, parcouru de grosses veines, et l'insinua entre les lèvres. Elle acccueillit la varge sur sa langue, qu'elle sortit pour lécher le dessous.

-J'ignorais qu'elle aimait faire tout cela.

-HMmmm... Monsieur Torres vous laisse la place.

-Oui, merci, c'est fort aimable de votre part.

-Mon... Monsieur Wang vous suggère son petit trou...

Clothilde vint s'empaler sur Wang et, chaude come la braise, commença à faire aller et venir vivement son vagin autour du membre. Elle s'arrêta et posa ses genoux en lieu et place de ses pieds sur la table basse. Le gland de Torres touchait son anus. Il du forcer pour entre davantage. Elle se coucha sur Wang et, d'un seul coup, l'autre homme fît irruption en elle. La traductrice hurla.

La secrétaire entendit le cri, sursauta et entra dans le bureau de son patron. Ele fut captivée par le spectacle : trois corps, une femme entre deux hommes, une étreinte bestiale, un furieux plaisir.

-On à une spectatrice je crois, dit Wang. Torres avait compris avec le mouvement de tête du Chinois.

-Le patron veut que tu te caresses, salope, aboya la traductrice.

La secrétaire enfonçait ses mains jointes sur le devant. Elle cherchait à descendre le plus discrètement possible saisir le bas de sa jupe mi-longue. Elle la remonta et plongea sa main dans son slip de coton découvrant le haut de sa toison hirsute.

-Regarde dans mon sac, dit la traducrice dans la langue de Confusius, et prends le truc..

L'employée trouva un gode-ceinture. Elle avait deux doigts de l'autre main dans son sexe. Elle se caressa les lèvre du membre en plastique fort généreux. Elle parvint à le faire coulisser dans son vagin. Elle jouit puissement, comme jamais sans doute, et entra comme dans un état second, les yeux presque fermé.

Elle plaça le gode-ceinture sur elle comme si c'était son sexe, un sexe d'homme à faire peur. Elle l'entoura de sa petite main fine et frissonna comme si elle ressentait quelque chose. Lentement, elle s'approcha de l'animal à trois têtes, furieux et brûlant, laissa couler un filet de salive sans se pencher, possedée.

Torres et Wang se retirèrent. La secrétaire enserra les hanches de la traductrice. Les mains étaient si douces et les ongles griffaient sa peau si sensuellement, que Clothilde ne dit rien quand elle sentit son propre gland de plastique contre son anus. La tête entrée, elle se coucha sur le dos de Barmus qui sentit des petits seins la piquer. La traductrice devenait folle de plaisir : la secrétaire la pénétrait par petits coups rapides. Les femmes, l'une dans l'autre, formant un angle, suçaient les hommes qui échangeaient leur place.

Le français et le chinois, l'un après l'autre, jouirent sur les langues vivent que mêlaient les femmes.

-Mais vous parlez Allemand !
-Oui, cinq ans chez Daimler-Chrysler...
-Moi aussi je parle Allemand, dit la secrétaire avec un soupçon d'espoir dans la voix.

Tous se mirent à rire à gorge déployé.
Par Maximilien Licenz - Publié dans : maxlicenz
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