Lundi 13 février 1 13 /02 /Fév 14:01
Georgina

Chapitre I
Georgina est une rousse aux cheveux bouclés encadrant un visage de poupée de porcelaine aux yeux noirs et brillants, un petit nez pointu et des lèvres roses et luisantes. Sa poitrine généreuse et fière est recouverte d'un T-shirt fuchsia à fines bretelles. Sa courte jupe blanche laisse apprécier ses cuisses solides et fuselées, ses jambes perchées sur des hauts-talons blancs, la cheville droite entourée d'une chaîne.
Elle est embauchée chez les Montserrat, une famille de la très haute société, fervent catholiques et châtelain.
En remontant le chemin traversant la forêt, découvrant la façade ahurissante du château de ses possibles employeurs, Georgina au volant de son Austin mini rouge, se demandait si sa tenue était de circonstance. Faire demi-tour pour aller se rhabiller aurait été encore plus malvenu. Elle n'était pas censée travailler dé aujourd'hui après tout.

-Vous êtes très belle, dit Isabel Montserrat. Ce qui ôta un poids considérable des épaules de la candidate. Elle rougit.

Mme Montserrat, elle, portait un pull à colle roulé d'où il sortait une chaîne alourdie d'une croix discrète mais brillante. Sa jupe noire arrivait à peine à ses genoux, voilés, ses pieds coincés dans des chaussures à talons modestes.

-Si j'étais jeune, moi qui a toujours été très sage, je me mettrais en valeur comme vous le faites, même si je n'ai pas les même atouts.

Georgina aurait bien dit que sa probable future patronne était encore belle mais cela ressemblerait à une " gaffe " et elle aurait ajouté qu'elle devrait mieux s'habiller ce qui n'aurait rien arrangé à ses affaires.

-Mon époux va bientôt arriver. Il est probablement occupé à… Sa gorge se noua, ses joues s'empourprèrent. A ses affaires, ajouta t-elle dans la crainte de fondre en larmes. Bon, je vais vous emmener voir votre chambre.

La rousse aurait pu être énervée d'être emporter ainsi dans l'étage de la demeure alors qu'elle n'était venue que pour recevoir un " oui " ou un " non " et une date a laquelle elle serait plus disponible. La vérité est qu'elle avait largement de temps devant elle.

Arrivée dans sa chambre, plus que correcte, à peine mansardée, propre, tapissée avec goût, un lit de la belle époque, quelques restes de flacons et des accessoire de femmes soucieuse d'elle même, Mme Montserrat la tira par le bras vers son armoire.

-J'ai un doute sur la tenue qu'on vous à mise de côté. Notre ancienne employée, que j'ai du renvoyée pour des raisons… Enfin, bref… Vous n'interrogerez pas mon mari là-dessus, hein ?  était moins…

Elle ouvrait se mains devant elle, presque honteuse de mimer une poitrine. Georgina souriait, pas sa patronne.

-Enfin, je me demandais si cela vous irait. Essayez-là, je vous laisse…

Georgina la trouve seule en train de pleurer. Georgina lui conseille d'accepter d'aller à un vernissage. La patronne l'invite comme si c'était une amie. Georgina se fait inviter à prendre à boire chez lui. Isabel se fait ramener par son chauffeur.
Le lendemain matin, il ramène la bonne au château. A peine se vente t-il auprès de Mme de Montserrat avoir passé la nuit avec Georgina. La patronne en fait le reproche à son employée qui voit, dans l'entre fait, M. de Montserrat donner de l'argent à l'homme.
La prochaine fois, Georgina incite sa patronne à mieux se mettre en valeur et l'emmène à une fête. Elles se font passer pour deux sœurs et son emmener par un homme. Il séduit Georgina mais Mme de Montserrat se laisse faire, un peu par jalousie. Elle se fait embrasser et se retrouve en soutien-gorge, un verre à la main et ragarde Georgina faire une gâterie à l'homme qui , sous ses yeux, lui fait ensuite l'amour.
Mme de Montserrat fait monter dans le salon un jeune puceau qui possédait quelques magazines un peu osés. Il a les cheveux un peu longs, châtains, le visage bistre et osseux, l'air effronté et timide ; on aurait dit un jeune Anglais pratiquant le rugby. Isabel remplit deux verres d'un alcool pas trop fort en signe de détente. Elle avait un corsage un peu léger, échancré et transparent. Servez-moi un verre, dit-elle au garçon qui fit tressauter le goulot de la bouteille sur le bord du verre. Il se recula assez vite dans la pénombre de la pièce.

-Revenez, dit la maîtresse de maison, ce n'est rien.
-Je ne sais pas ce qu'il m'arrive dit le jeune-homme en regardant au ras de son corps.
-Ce n'est rien, répéta Mme de Montserrat en effleurant le pantalon, mettez-vous à l'aise…

Le garçon, lentement et fébrilement, descendit la fermeture de son  pantalon, la barrière blanche de son slip, et sortit un petit sexe boudeur. Mme de Montserrat approcha doucement ses trois doigts de sa  main droite et pinça le membre et lui imprima un petit mouvement. Une fois le sexe bien disposé, le jeune-homme ne sut quoi faire et sa maîtresses non plus. Ils allaient en finir là qu'il s'approcha. Il maintenait son sexe qui dégageai son gland. Il toucha bientôt le bout des lèvre de la patronne. Elle se mordit, se recula un peu, s'approcha de nouveau, la pointe de la langue timide, baisa le bout, entrouvrit ses dents, rejeta le gland, puis le remit plus franchement en bouche, de plus en plus loin, l'aspira, le senti grossir, palpiter. Tous les deux novices, le jeune-homme jouit modestement au bord des lèvres de la maîtresse de maison qui essuya prestement en crochetant de son majeur les deux côtés de son menton. Le garçon partit vite comme Mme de Montserrat le souhaitait.

Elle est embauchée chez une famille de la très haute société dont la mère est collectionneuse d'aventures en compagnie de jeunes bien battis ou d'hommes rustiques pratiquant des professions exigeant force et endurance.
La fille est plus artiste et plus vicieuse aussi. Elle essaye de provoquer des liaisons impossibles, bisexuelles ou homosexuelles auxquelles elle participe.

Une fois, elle fait embaucher par sa mère, après lui avoir attesté ses bonnes proportions intimes, un jeune curé qu'elle avait comme premier amant. Celui-ci s'est confié à Dieu on ne sait trop pourquoi. Un soir où la mère et la fille, la première rassasiée de jeunes étalons, la seconde d'inventions sado-masochistes, partagèrent un moment de détente avec le chauffeur, un homme noir recruté, lui aussi, en raison de sa longueur et de son diamètre, et le petit curé. La fille força se dernier à sucer le membre du chauffeur qui connu pour la première fois les faveurs d'un individu du même sexe.

Le curé tiendra compagnie à sœur Clotilde qui prétend être pure mais qui joue de temps en temps avec les accessoires que les femmes de la maison laisse volontairement traîner et, faute de se laisser emporter dans les relations charnelles qu'elle surprend ici où là, s'enlise dans la surenchère dans la masturbation à l'aide d'accessoires de plus en plus gros et d'installation pseudo artistiques de la gamine. Les deux soldats de Dieu se rendirent service, l'une pour se laisser trousser et sodomiser, ce quelle préfère au-dessus de tout, et l'autre, la même chose sauf qu'il aimera être dominé par la none. Elle et, plus tard, les autres femmes l'obligeront à se donner au chauffeur, désormais enthousiaste, et à d'autres hommes.

La mère, elle, quand ce n'est pas avec sa fille, c'est à des hommes plus jeunes ou plus nombreux qu'elle confie sont corps.

C'est sa fille qui lui a donné ce genre d'idée elle qui aime se couvrir de peintures vives, se salir, se faire accrocher, suspendre, s'enlaidir, se soumettre. Une fois, la mère était descendue à la cave, qu'elle croyait désertée par sa fille, seins ronds et durs sous son collier de perles, jupe et collant noirs, la coiffure brune bien coiffée, mais elle découvrit sa fille à genoux, bariolée de couleurs, les poignets attachées aux chevilles. Elle vint s'accroupir derrière elle et, pour se venger autant que pour lui faire plaisir, ce qui paraît un terme un peu dépassé, enfonça ses doigts dans les commissures des lèvres de la petite, entre ses mâchoires et des garçons, une dizaine, vinrent glisser leurs membres sur sa langue, en regardant le visage multicolore et écarquillé. Les jeunes-hommes, la peau entre le gris clair et le gris foncé, se firent sucer avec plus d'efficacité par la mère qui se mit face à sa fille et penchée, se faire descendre la jupe et la culotte noire autour de ses bas raffinés maintenus par des porte-jarretelles et se faire besogner. Les uns après les autres, les garçons vinrent jouir sur le visage écarteler de la petite, faisant effondrer la peinture criarde sur son cou.

Son mari, un jour, se servit d'elle comme crayon de contrat. Elle se laissa séduire par un homme d'affaire, sous la bénédiction de l'époux, s'en amusait et se laissa entraîner dans le vice. Le couple s'abandonna au partouzes. La maîtresse de maison, très chrétienne autrefois, dirigeait un catéchisme de haute société dans sa propre demeure. Certain élèves étaient majeur et semblaient être là pour des histoires de dépravation. La maîtresse fantasmait là-dessus mais voulais inconsciemment un peu plus que cela. Elle n'acceptait maintenant que des jeunes adultes.
Une fois que toutes les écolières eurent rencontré le vice avec un homme, une femme de la demeure ou entre elles, la fille de la famille organisa une sorte de fête artistico-perverse où les jeunes filles, dans la cave, arrivèrent sur une estrade et passèrent leur cou, dans un nœud de pendaison, menottée dans leur dos, intriguée puis, obligées et amusées, se firent mettre à nue, offertes aux enchère à des couples de bourgeois partouzeurs qui s'assirent sur les chaise de spectateurs qu'était censé être les employés et les camarades de catéchisme, au milieu de draps et de coussin rouges. L'argent revint directement aux jeunes-femmes, les billets coincés sous les jarretières épinglées en même-temps que les menottes. L'une fut forcée à s'agenouillée sous une table ronde, liée dans le dos, s'occuper du sexe d'un quadragénaire, sous le regard de sa femme. Une autre écolière se fit manger le sexe par une femme, sous le regard, cette-fois-ci, de son époux.

Parmi elles, il y avait des jumelles à qui la maîtresse de maison tentait d'apprendre à partager, entre elles, les plaisirs. Par bonheur pour elle, la maîtresse goûta au délice de se faire pénétrer, par les deux orifice, par les petites mains des deux sœurs excitées par un franc cunnilingus pratiquée sur l'une, puis l'autre. La maîtresse de maison hurla, son anus et son vagin, étirés par les poignets trempés de crème lubrifiante.  Encore une fois, sœur Clotilde, à croire qu s'était voulu, fut témoin de la scène. La fille n'était pas loin non plus et était passée par la cuisine. La nonne passait devant quand elle fut suivie immédiatement par la jeune-femme. Elle emporta deux magnifiques concombre jusqu'à la chambre de Clotilde et remonta sa robe sous laquelle elle était nue. Elle le poussa sur son lit, à quatre pattes, et caressa activement ses lèvres bombées. La jeune-femme enfila un doigts, puis deux, dans le vagin et dans l'anus, poussa un légume dans l'un, puis l'autre. Ensuite, la gamine couru, nue, vers la cuisine et, sous le poids du chantage, la cuisinière autorisa à la petite de ramener un couteau et un saladier, remonta dans la chambre de la nonne qui attendait les orifices dilatées, coupa se qui dépassait de sa chair, réenfonca le tout, Clotilde cria, découpa en rondelle les légumes tandis que la sœur mangeait son sexe. Au bord de la jouissance, la petite se masturba au-dessus du saladier, mangea une moitié de son contenu et laissa le reste à la nonne qui parvenait à peine à ouvrir la bouche. La jeune femme se rhabilla, et aida Clotilde à en faire autant. Elle le fit descendre péniblement jusqu'à la cave, la fit monter sur l'estrade en lui tenant la main. La nonne fit demi-out, s'agenouilla, se pencha et la fille de la famille souleva la robe sous les regard stupéfaits de l'assistance. La gamine fit monter un chaise sur la hauteur, extirpa les concombres des orifices de la sœur, montra leurs longueurs au public, les coupa dans le saladier avec le couteau qui traînait au fond quand elle faisait descendre la nonne dans la cave. Les hommes vinrent dessous, dessus,  la sœur, faire entrer leurs sexes dans les orifices béants et humides, jouir dans le saladier que la petite tendait comme une demande d'aumône. La nonne hurlait des années d'hypocrisie et de retenue à se demander si elle était folle. La fille de famille fit asseoir la sœur, extasiée, et lui fit goûter, à la petite cuillère, le contenu du saladier. Elle tiquait, regardait la gamine avec complicité et riait fort

Chapitre II
La mère remarque des jumelles qui confièrent leur penchant pour les caresses mutuelles. La mère reçut un double fisting. La nonne avait vu la scène et fut suivie par la fille qui emporta deux concombres. Elles jouèrent avec les légumes et la fille descendit aller chercher un couteau et un saladier. Elle découpa une partie, jouit dessus et les deux femmes mangèrent les concombres. Elle exhiba la nonne sur l'estrade de la cave. Les hommes vinrent lui faire l'amour et jouir dans le saladier.

Deux camionnettes bleues flanquées d'échelles franchissent le seuil du portail. Elles s'engagent dans l'allée du château. C'est la demeure de la famille Montserrat.
Les véhicules s'arrêtent devant l'immense façade qui surplombe l'imposant escalier. Une limousine est garée dans le sen inverse.
Un chauffeur noir ouvre la portière à une jeune-femme. C'est Brigitte Montserrat, cheveux blonds tressés sur le crâne, robe lumineuse, légère et transparente.
Abel Meto, le chauffeur, semble s'habiller comme il lui convient. Il porte un costume coupé pour sa silhouette élégante et élancée. Même ses boutons de manchettes sont dorés. Cravate jaune rayée, il ne porte pas de casquette à cause de sa coiffure afro-américaine.
Bertrand Montserrat suit son chauffeur pour monter de l'autre côté de la voiture. Le père, un massif quinquagénaire aux cheveux blancs, est presque habillé comme le noir, en plus sombre et terne. Le chauffeur se met enfin au volant et démarre.

Seule dans la demeure, Isabelle Montserrat est sous la douche. Elle ferme les robinets et gagne sa chambre. Nue, elle pose son pied gauche sur un fauteuil rouge et étale une crème sur sa jambe. La mère est une solide blonde à la beauté simple. Ses cuisses épaisses sont néanmoins fermes et fuselées. Elle s'assied devant son miroir. Ses rares rides et ses yeux clairs expriment la vie. Ses mains enveloppent ses seins ronds et fiers. Elle entoure son cou et son poignet droit d'une triple rangée de perles. Elle se lève et s'approche de la lingerie posée sur la courbe du dossier. Elle enfile un slip de dentelle et une nuisette blanches.

Des hommes descendent des camionnettes bleues. Ils sont vêtus de noir. Ils portent une combinaison et une sorte de calot.  Leurs pas bousculent et creusent les gravillons. Celui qui semble être le patron gravit lourdement l'escalier, ouvre l'immense porte vitrée et remarque une note sur le guéridon : " Salissez-vous au possible avant règlement. " L'homme range le papier dans sa poche, un petit rictus au coin de la bouche. Il sort de la demeure et descend l'escalier d'un pas léger. Il dénoue une corde qui tient une échelle au flanc d'un véhicule.

-La maison est vide. On a plus qu'à travailler. Il y a une cheminée dans la cuisine et trois dans des chambres. Les autres sont condamnées, dit-il aux apprentis qui ne connaissent pas les lieux. Ne sortez pas les bâches ! Ce n'est pas la peine. Ce n'est jamais très sale, ajoute le patron à ses collèges, perplexes.

Ils montent sur les toits parce que se sont, comme les tenues les indiquent, des ramoneurs traditionnels. Les jeunes aiment tirer sur les cordes qui hissent les échelles, chevaucher les sommets et regarder le paysage. C'est superbe. Les arbres de la propriété ont toutes les variantes du vert et se détachent des pierres ensoleillées des dépendances du château.

La limousine stationne sur le parking de la gare.

-Votre amie n'habite pas loin d'ici,  il me semble.
-Oui père, répond Brigitte Montserrat.
-Évidemment que je le sais ! Dit-il avec un petit sourire. Votre ami de curé n'arrivera que dans deux heures. On a le temps de rendre visite à… La petite pute.

Le chauffeur regarde dans son rétro-viseur et aperçoit le beau visage de la blonde s'illuminer. Abel descend et contourne la voiture par l'avant et ouvre la portière à la demoiselle. Le chauffeur noir continu vers l'arrière et fait descendre le père qui ferme sa veste.

Vous avez le code Abel, dit M. Montserrat.

L'athlète sort un papier de sa poche, le déplie ; un doigt porte une chevalière, et compose le code d'entrée.

-Qui est-ce ? Crie une voix rugueuse et métallique.
-M. Montserrat et sa fille, votre amie, dit le chauffeur avec son accent aigu.

Une sonnerie stridente et un claquement se font entendre. Abel pousse la porte, lourde, et fait entrer Brigitte suivie de son père. Ils grimpent l'escalier et Bertrand Montserrat sonne à la porte d'un appartement. La tête d'une jeune et petite blonde, un oiseau, apparaît dans l'ouverture de la porte, timide.

-Bonjour Corinne, dit Brigitte.

Elle invite les trois individus à entrer. Le père voit, devant-lui, la fille tourner le dos Elle a une queue de cheval mais quelques mèches s'en échappent et encadrent son visage. Elle a gilet bleu clair, une courte et légère jupe à fleurs.

-Vous êtes venue au catéchisme la semaine dernière ? Demande l'homme aux cheveux blancs en caressant l'arrière-train de la petite.

-Oui…
-Qu'avez-vous appris ?
-Vous souhaitez que je vous le montre ? demanda Corinne.
-C'est censé servir un jour… Ironise Mr Montserrat.
-Suivez-moi.

Tous entrent dans une chambre qui semble être celle des parents. Deux lits son espacés et recouverts d'un dessus orange. Mr Montserrat s'assied face à Corinne qui dénoue la cravate et déboutonne la chemise. Elle s'agenouille et délie les lacets des chaussures qu'elle enlève ainsi que les chaussettes. Bertrand Montserrat se lève et la petite déboucle sa ceinture, ouvre la braguette et descend le pantalon et le slip. Il s'assied à nouveau et Corinne tire sur ce qui reste de vêtement au quinquagénaire. Ce dernier pivote sur ses fesses, nu comme un ver, le torse fier et velu. Corinne s'agenouille sur le lit, écarte les cuisses hirsutes et, du bout des doigts, saisie le gland rose dont elle dégage le gland brillant. Elle se penche et sa petite langue, timidement, en fait le tour. Elle pose un baisé au bout et recommence en desserrant toujours un peu plus les lèvres. Le membre, assez fier, glisse maintenant sur la langue de la petite.
Brigitte se caresse au travers de sa robe avant que grande main du chauffeur y prenne sa place et fasse mouiller la fille Montserrat. Celle-ce tire le noir par le bras vers l'autre lit, s'y assoit, ouvre son pantalon  et avale le long membre jusqu'à sa garde. Il prend la tête de la petite blanche qui aime être un peu forcée. Il la rejète ensuite et soulève sa robe, descend son slip et titille du doigt la fente en s'enfonçant assez vite. Brigitte se lève, courre, et se couche sous Corinne. Elle écarte le slip et fouille la toison avec sa langue. Abel va et vient dans Mlle Montserrat tandis que celle-ci s'égare vers le petit trou. Le chauffeur voit les doigts de Brigitte s'enfoncé entre les reins de sa copine et ne peut s'empêcher d'aller toucher l'anus avec son gland. Quand ce dernier force, appuyant sur le dos de la blonde, celle-ci ne peut tout à fait esquiver la jouissance de Mr Montserrat qui mouilla sa langue, lui même excité par la scène. Un second jet, paresseux, envahit un peu la bouche de la petite. Abel parvenait à entrer dans son anus, allait et venait de plus en plus vite et loin. Brigitte est ravie de voir cela de si près de goûter la jouissance de son amie qui ne tarde pas à venir. Le chauffeur vient jouir dans la bouche de Corinne, sa queue luisante déformant la bouche, sous les yeux de Mr Montserrat qui rebanderai presque.

-Holala ! Il y a une bonne épaisseur de suie là-dedans ! Hurlait un ramoneur par le conduit de la cheminée.

A peine avait-il fini sa phrase qu'il y eut un gros bruit accompagné d'une nuée noire et suffocante autour du foyer. Le patron et ses employés se virent les yeux stupéfaits et les dents au bord du rire car, le reste, noir comme du charbon.

-Bon, d'accord. On va installer des bâches dans les autres pièces, dit le chef.
-Je ne sais pas si c'est le cas chez vous mais dans les chambres, c'est plutôt sale. Vous devriez mettre des bâches ici, lance un ramoneur qui venait de descendre de l'étage. Quand il vit, ici ou là, l'air grisâtre et les gueules noir, il regretta ses paroles.
-Vous êtes allés dans la chambre de Mme Montserrat ? Demanda le patron qui connaissait la réponse puisque cette pièce n'était certainement pas inoccupée.
-Non… Dit l'employée qui craignait le vent du boulet.
-Tant mieux ! C'est la plus délicate. Tout est blanc dans cette pièce. On va mettre une sérieuse protection ; on va y aller à plusieurs. Vous, sortez les aspirateurs, les produits, etc.

Le patron et trois ramoneurs accélèrent le pas vers les camionnettes, sans s'essuyer, prennent les bâches et grimpent l'escalier à grandes enjambées jusqu'à la chambre d'Isabelle Montserrat.

-Laissez les bâches dans le couloir, on doit déplacer des trucs, dit le chef aux employés, perplexes.

Ils entrèrent sans frapper, la poignée noircie. Sur le lit était allongée une femme blanche sur des draps de coton blanc, blonde, nuisette de soie et de dentelle. La moquette couleur crème, les murs tapissés d'un gris de porcelaine rayé des fines rayures verticales gris-bleus.
Les hommes effarés, le patron moins que les autres, entrèrent avec lenteur et hésitation, poussés par l'arrière. Pour ne pas s'avancer, chacun fait un pas de côté.
Me Montserrat  dégage sa poitrine, massa sa poitrine fière et ronde, pince ses tétons. Elle se laisse aller à la sensualité, à exprimer son désir et le plaisir d'être dans cette situation.

Le patron caresse la chevelure blonde de Me Montserrat et noirci sa joue, sa tempe. Celle-ci, de l'autre joue, caresse l'intérieure de la cuisse de l'homme. Toujours couchée sur le ventre, accoudée sous les cuisses ouvertes du chef, elle abaisse son visage et lèche la bourse. Il prend son membre en main. Isabelle Montserrat retire les siens et s'appuie sur l'intérieur des cuisses du ramoneur, les écarte, dégage l'enfoncement. Elle tourne un peu la tête, passe le nez à côté de la bourse et fouille de la pointe de la langue la jungle intime du ramoneur. Elle atteint la chair vierge, le plissement farouche de l'anus. Elle sent une humidité sur sa langue, recule, pose ses doigts sur ses lèvres interdites, pincée et reste ainsi un instant, les yeux fermés.

Elle tourne la tête dans l'autre sens et continue son ouvrage. L'homme, excitée, chatouillé serra par reflexe ses  cuisses autour du visage de Me Montserrat. Elle avait l'air presque endormie.

La femme de ménage, que la maîtresse de maison, comprenez la désignation, appelle la soumise au nettoyage, redoute ce jour-là parce qu'elle doit nettoyer derrière, les traces de pas, de mains, au sol, sur les murs, sur les draps, les vêtement, le corps de madame. Celle-là avait été embauchée, non pas parce qu'elle est l'épouse du chauffeur, pas jalouse puisque bien payée, mais parce qu'elle avait une forte poitrine qui tombe jusqu'au coudes quand elle frotte par terre, d'ailleurs les balais ont été supprimés.

Le curé tient compagnie avec sœur Clotilde qui le domine, se pénètre mutuellement d'accessoires.

Chapitre III
La mère s'offre à des éboueurs. La cuisinière à du préparer du poisson toutes la semaine, une partie jetée sans être consommé, et les poubelles ont été exposées au soleil.

Une autre fois, ce sont les éboueurs. Ce coup-là, la cuisinière du préparer du poisson toute la semaine et remplir les poubelles, placée au soleil, alors que tout n'avait pas été entièrement dégusté. Les éboueurs vinrent donc comme prévue un matin d'été, un matin où la maîtresse de maison vint à leur rencontre, nue sous sa nuisette transparente qui vola au vent du matin frais et brumeux, avant de se coucher sur les poubelles et d'accueillir les bites qui tournèrent autour d'elle.

La cuisinière n'ignorait pourtant pas les destinations sexuelles de sa cuisine depuis que la fille fit peser sur elle un chantage. C'était un méfait léger par rapport au reste dans la mesure où s'était simplement une fornication en compagnie d'un livreur en fruits et légume qui tapait dans l'œil depuis longtemps de l'employée de maison. Surtout, cette aventure n'était en rien un secret puisque la fille en avait fait part à sa mère en de très bons termes puisque le monsieur était fort épais de la poitrine. La maîtresse de famille remua ciel et terre pour retrouver le gaillard et quand elle le retrouva dans une compagnie de transport et dans un parking, elle se projeta immédiatement l'opportunité érotique. Elle connut sa première aventure en compagnie de chauffeurs routiers. Bien sûre, s'était le but de la confidence, la fille voulait en profiter. La mère organisa la rencontre avec l'homme, elle et sa fille, en auto-stoppeuses, en guise de préambule plus ambitieux et personnel. Pour l'histoire du parking, la mère s'était déguisée en prostituée, de luxe tout de même, et prétendait offrir une tournée gratuite à chacun des hommes du bar jouxtant le bitume. Rendus à l'endroit prévu, le soir, dans un coin du parking, les hommes s'accommodèrent d'être plusieurs plutôt que seuls avec la brune. Elle s'installa sur une table forestière, sous un toit adossé au restaurant de bord de nationale, remonta sa jupe léopard, écarta sa culotte de dentelle noire, remonta son top d'aspect de serpent, et se fit besogner par les gars, jouissant sur ses cuisses, ventre et son visage.

Il travaillait pour une compagnie de transport et s'aperçut de l'opportunité érotique quand elle vit la stature des chauffeurs. La mère organisa une mise en bouche avec sa fille, à qui elle avait promis une aventure avec le livreur, en se déguisant en auto-stoppeuse avant une aventure seule avec ses confrère à l'arrière-boutique du restaurant du bord de route.

Le chauffeur avait mit sa femme dans la confidence en ce qui concerne le curé. Cela tombait bien car elle avait la même gêne à cause de sa relation avec la maîtresse de maison. A vrai dire, leur relation n'avait jamais été aussi clémente qu'en ce moment. L'époux fit rencontrer sa femme et soeur Clotilde. L'épouse s'était déguisée, croyant que la bonne-sœur l'était, en guerrière : short kaki, T-shirt moulant de camouflage et, surtout, un superbe gode-ceinture que sa patronne avait offert au chauffeur en croyant que sa femme s'en servirait. Ce n'était pas encore le cas mais il avait trouvé cette façon de lui suggérer. Il fit semblant de partir quand sa femme s'installa dans la chambre de la nonne mais, quand celle-ci fut dans celle-là, il vint, nu, se glisser dans l'anus de la nonne, je dis bien, encore avec un peu de son uniforme, dans son dos. Celle-ci se retourna, son rectum défoncé par la militaire noire, accueillant l'époux de celle-si dans son bénitier. La nonne, ayant vu la scène ou le noir sodomisa le curé, ce qui l'avait excitée au plus au point, elle était revenue voir le spectacle avec une carotte dans son ventre, la cuisinière la cherche encore, alla chercher son propre gode-ceinture, remonta sa robe, la fit descendre finalement, agacée,  s'équipa enfin de l'engin, et alla doigté, lécher l'anus du chauffeur qui ne dit rien alors qu'il sodomisait sa femme et qui se fit sodomiser lui-même. Quand sa femme s'en aperçut, elle se retourna et, la sœur partie chercher la crème lubrifiante qu'elle appliqua sur son membre, dans l'anus du noir et autour du membre de son épouse, qui n'en avait pas l'intention, pénétra son homme avec la nonne. Le chauffeur, qui n'avait jamais envisager se faire pénétrer, l'était doublement alors qu'il fantasmait que sa femme connu ce plaisir.

La maîtresse de maison aperçut la femme de ménage briser un cendrier au sol. Elle entra dans la chambre de son fils, gifla la bonne, passa son bras par-dessus celle-ci, remonta sa jupe ; elle n'a pas de sous-vêtement. De l'autre bras, elle tira un tiroir de la commode et sortit une raquette de ping-pong. Elle  fessait jusqu'à rougir quand le père et le fils entrèrent, en tenue de tennis et en sueur.

-Hmmm ! Elle a fait une bêtise, dit le fils.
-Oui, cette petite pute à besoin d'une punition, répondit la mère.

Elle la maîtresse de maison frappait de plus belle. La bonne criait, les larmes inondant son visage implorant. Madame de Montserrat laissa la raquette dans le tiroir de la commode, tira une chaise du coin, s'assit et fit coucher la bonne sur ses genoux.

-Maintenant mes hommes vont t'enculer. Tu sais ce que cela veut dire Anaïs ? Demanda la maîtresse en faisant tourner son majeur autour de l'anus.
-Oui Madame.
-Philippe, mon petit, as-tu toujours le gel…
-Oui… Dit le jeune-homme en blanc, le short enflé, en allant fouiller à l'autre bout du tiroir d'où il sortit un flacon.

Sa mère le devisa et répandit une grosse noisette de lubrifiant sur ses doigts avant d'en garnir généreusement la raie de la femme de ménage. Les hommes se dévêtirent leurs habits jetés sur le lit. Ils vinrent vers la tête d'Anaïs, ses pommettes séchées et souriantes, et, tour à tour,  forcèrent l'entré de ses lèvres, allèrent et vinrent dans sa gorge.

Les doigts en pointe, la main grasse, la maîtresse de maison s'enfonçaient dans l'anus de la bonne. L'époux plaça son gland contre l'anneau élastique et tentait d'entrer. Impossible. Il la prise par les hanches cherchées sous la jupe et revint à l'assaut. La bonne râlait quand son anus céda au point d'emporter sa maîtresse qui la tenait sur ses cuisses. Mr de Montserrat limait sa bonne lentement puis accélérait. Celle-ci hurlait et s'agitait. Le fils prit la place de son père. Son sexe était plus gros encore et la bonne hurlait de plus belle.

La maîtresse de famille fit lever sa femme de ménage. Elle s'écroula entre les genoux. Mme de Montserrat dégagea et caressa le visage de sa bonne. Son époux et son fils se masturbaient copieusement. Ils jouirent sur le visage d'Anaïs. Sa maîtresse étala la semence de son mari et de son petit sur les lèvres de sa bonne. Elle appuya sur le menton et le front, le regard obstrué, et les hommes remplir la bouche de sperme. La bonne écuma sur ses joues et avala prudemment une minuscule gorgée.
Par Maximilien Licenz - Publié dans : maxlicenz
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