Blouse blanche, peau noire.Elle s'appelait Nadia, d'origine camerounaise, infirmière dans un centre de réeducation pour sportifs.
Elle n'était pas très grande mais pulpeuse. Ses formes était rondes et fermes. Elle portait une blouse qui s'arrêtait au-dessus du genoux, scintrée à la taille.
Elle avait de grands yeux a mi-hauteur du visage, libérant un vaste front plissé d'inquiétude. Elle avait un nez court et large, une épaisse bouche qui écrasait un minuscule menton. Elle était coiffée de tresses africaines qui effleuraient ses épaules.
Quelqu'un frappe trois coups à la porte de l'infirmerie.
-Entrez !
Quatre jeunes hommes entrèrent dans la pièce froide et lumineuse.
Marc arriva en premier. Il est blanc, trappu, cheveux courts et blonds, T-shirt de marin, jean, chaînette autour du cou.
Il fut suivi de Karim, plus élancé, cheveux bruns en arrière, chemise blanche, pantalon beige à pinces.
Jocelyn les succéda, mulâtre de guadeloupe, le plus petit, très musclés, polo vert, pantalon de lin kaki.
Pedro, fermait la marche, portugais de taille moyenne, brun rasé, chemise noire, pantalon blanc.
-Il y a un problème ?
-Toujours le même...
Marc colla son son corps à celui de Nadia et lui pressait les fesses. Elle sourit en massant l'entre-jambes du blanc. Les trois autres lui adressaient un regard moqueur. Elle se mit à genoux, déboucla la ceinture du blond, déboutonna la braguette, descendit le slip, ancien style, blanc, d'où le membre tendu jaillit, vigoureux. le gland fit comme un bourgeon au printemps, frais.
Les lèvres, roses, épaisses et gracieuses s'ouvrirent. Elles se courbèrent comme les pétales d'une fleur. Entre les incisives blanches et espacées, la pointe d'une langue s'insinua dans le méat. Plantée dans le trou, elle tentait d'entrer en ondulant, telle un ver dans un sol aride.
Les lèvres se joignirent et vinrent baiser l'extrémité.
La bouche recula et s'ouvrit de nouveau. La langue réapparut et tourna autour du gland. Les deux petites surfaces excitaient la chaire lisse et sensible. Ses lèvres se couchèrent sur la tête en expulsant leur pulpe charnue.
Le membre vint glisser sur la langue bombée. La tête recula en tournant autour ses lèvres resserées. Lorsque la chair de la bouche sentit le bord du gland, la brune vissa dans l'autre sens. Elle ne relâcha pas l'étreinte, glissant sur la peau mouillée et lisse. Le membre, dur et rigide, palpitait au rytmhe du sang qui affluait dans les veines sinueuses.
L'infirmière, le coeur surchauffé par la passion, faisait aller et venir la chair de ses lèvres, de ses joues, sur la verge brillante et tendue du jeune-homme. Ses joues se creusaient et ses paumettes se fuselaient. Un murmure naissait dans son soufle qui, par les narines, chauffait le dessus du membre.
Nadia fit cela aux quatres jeunes-hommes, avec ses mains aussi quand elle n'était pas au bout de la haie des verges impatientes.
L'infirmière se releva, baissa sa culotte et se coucha sur la table d'oscultation, par le côté. Karim remonta les genoux de la camerounaise contre sa poitrine, les baisa, ouvrit les cuisses lentement et continua de déposer ses lévres à l'intérieur en se rapprochant du pubis. Il était couvert d'un triangle de poil noirs, courbés et brillants de désir. Le beur sonda la fente humide de la pointe de sa langue. L'infirmière ondulait en grognant, excitée également par Jocelyn et Marc qui pressaient ses mamelons gorgée de plaisir. Les tétons redréssés, couronnés d'auréoles élargies, roulaient entres les pouces et les indexs.
Karim suçait le clitoris sensible de Nadia et pénétra son vagin chaleureux avec deux doigts. Elle jouit encore. Pedro fit entrer son membre dans la bouche de la camerounaise, la tête basculée dans le vide. Elle sentit le gland du beur franchir lentement le seuil de son sexe. L'excitation que l'infirmière subit la fit accélérer l'ébranlement de ses mains autour des verges de Marc et Jocelyn.
Les garçons tournaient autour d'elle, chacun prenant la place de l'autre, dans une main, le vagin, la bouche de Nadia. Sa position devenait insupprotable. Elle se mit dans le sens de la table d'oscultation, à quatre pattes.
Jocelyn vint lui attrapper ses fesses rondes et charnues, découvrit ses orifices et baisa la pêche pulpeuse préssée entre les deux belles cuisses de bronze. Le guadeloupéen remonta entre les fesses et laissa sa langue s'égarer autour du petit trou de l'infirmière. Elle releva la tête, ferma les yeux, et découvra le plaisir honteux, la honte du plaisir.
Engagée sur cette voie, l'infirmière fit retourner, pencher, Marc qui était agenouillé face à elle. Nadia blottit ses lèvres épaisses entre les fesses blanches du blond, écartées par les petites mains charnues terminés de longs ongles rougis. Il découvrit ce plaisir en creusant ses reins : cette petite langue caresser son anus. Pedro et Karim, de part et d'autre de l'infirmière, en piçant les globes suspendus dans le vide, regardaient cela avec un mélange de désir et de dégoût. Tout de même, l'un après l'autre, ils vinrent prendre la position de Marc.
Dans l'entrefait, Jocelyn s'était agenouillé dans le dos de Nadia et avait posé son gland contre l'entrée interdite. Il poussait sans pouvoir entrer. L'infirmière l'encouragea de réessayer.
-Vas-y, Vas-y !
Le guadeloupéen parvint à faire pénétrer la tête de son membre mais pas davantage. L'infirmière écarta un peu ses genoux et Jocelyn se coucha un peu sur elle. Il força l'entrée qui, d'un coup, céda, élastique, humide et en état de symbiose avec la verge. Nadia cria et le métis n'en fut pas loin.
Les deux entrèrent dans un autre monde d'où les trois autres jeunes-hommes se sentirent exclus. La camerounaise allait jouir, encore, comme jamais, et s'excitait comme une diablesse. Les garçons, une nouvelle fois, tournaient autour d'elle, mais pas assez vite, et pillonaient ce trou étroit, pas assez longuement.
Nadia tira Pedro sous elle et son vagin enlaça le membre des ses lèvres brûlantes. Le portugais se contenta aisément de cet orifice réduit et surchauffé par les trois autres verges qui se succèdaient de l'autre côté d'une paroie. L'infirmière avait l'impression que tout vides présents en elle étaient repoussés, rassemblés en un seul et rebondissait d'un membre à l'autre. Il lui semblait que son corps rougissait, que ses tresses s'égouttaient de sueur. Quand une verge cédait la place à l'une des deux autres, Nadia suppliait.
-Vite, vite !
Et elle refermait ses yeux, le visage crispé sur l'épaule de Pedro.
Une vague s'abattit dans les entrailles de la camerounaise. De long jets piquaient l'intérieur de ses chairs. Elle eut comme un reflexe de peur, instinctif, mais elle jouit aussi, un peu. Elle fit demi-tour et prit la verge du portugais dans sa bouche. Elle voulait le faire jouir en elle, continuer, même si cela la dégoûte en général. Le sperme, paresseux, venant de l'inconnu, envahit sa bouche qui se courba vers le bas en guise de grimace. Tout son visage se crispa mais, en relevant sa tête, au travers de ses paupières closes, Nadia vit deux autres membres s'agiter. Sa lèvre alourdie d'une semence qui s'échappaient mima un "oui" inconscient.
Soudain, la porte s'ouvrit. Une infirmière entra. Celle-était blanche, potelée, cheveux courts et noirs, pomettes souriantes, lèvres fines. Elle s'appelait Corrine.
-Toujours le même problème ?
Nadia, couchée sur Pedro, face à Jocelyn, Marc et Karim, étaient radieuse.
-Toujours...