Marie-Jo était boulangère ou, plutôt, serveuse dans la boulangerie qu'elle possèdait avec son mari. Elle m'a dit qu'il s'appelait Serge.
D'après une photo tirée de sa webcam, c'est une belle femme généreuse. Elle est blonde et elle m'a bien dit qu'elle avait quarante ans.
Entre deux clients ou les jours de repos, connectée à Internet, elle discute avec des gens. Comme son mari dort la journée, après une nuit de travail, elle se sent plutôt seule. La seule façon de rompre sa solitude est d'accepter des rapports virtuels qui, de plus en plus, l'amusent et va d'audace en audace.
Elle est très souvent connectée. Régulièrement, je vois son nom dans ma liste des contactes. Elle ou moi interpelle l'autre et demande de ses nouvelles. Comme la jalousie virtuelle est hors de sens, on se raconte nos dernières conquêtes et les rôles, les scénaris, les jeux auxquels on a joués.
Un jour, j'avais décidé de faire une surprise à Marie-Jo. J'étais en vacances dans sa ville, celle de mon cousin Philippe qui m'ébergeait. Je traversait le centre tout naturellement pour trouver sa boutique. J'étais décidé à ne pas la mettre dans l'embarras : la nature de notre relation, intime et audacieuse; et notre rencontre, soudaine, dans sa boutique, ses clients habituels. Je devais procèder par palliers, en quelques sorte, jouer le client ordinaire tout en me faisant remarquer. Je pensais que tout irait de soit ensuite. Erreur.
Quand j'ai trouvé la vitrine, j'étais déjà ému. Quand je l'ai vu derière son comptoir, j'étais terrorisé. Quand elle m'a vu bouche bée sur le trottoir, j'ai du entrer. Mes hésitations ridicules m'ont distinguées des autres, c'était suffisant. Je m'apperçus que je n'avais rien projeté d'acheter. Une baguette de pain ? Comme un con ? Je me suis rabattu sur le présentoire à bonbons et j'ai lancé des inanités :
-Tiens, vous n'avez plus de chewing-gum à la fraise... Naturellement, il y en avait.
-Si, biensûre, dit-elle. J'entendais le son de sa voix pour la première fois
-Oh puis non. Je vais prendre à la menthe... Non, à la fraise.
Elle ne s'était pas énervée, elle souriait. Elle était, dans ses attitudes, telle que je me l'imaginait. Des clients arrivaient. Je partis et dis bêtement : «Au revoir Marie-Jo». Je n'ai pas vu son visage à ce moment-là et je n'y tenais pas. J'ai acceleré le pas.
Comme je l'ai déjà dit, j'étais hébergé chez un cousin, Philippe, durant la semaine de vacance que je m'étais accordé. Il est plus doué que moi en informatique. Il m'avait informé de la possibilité de consulter mes E-mails depuis chez lui. J'ai lu tout ce que je devais, rien d'interressant. Dans mon répertoire, j'ai vu le nom de Marie-Jo. J'ai hésité puis cliqué dessus. J'ai écri quelque chose qui resemblait à cela :
« Marie-Jo, je ne sais pas si tu t'en aies douté, celui qui était passé par ta boutique hier, qui cherchais du Chewing-gum à la fraise alors qu'il y en avait devant lui, qui a pri le paquet finalement et qui est parti en criant ton nom, c'était moi ! »
Cela tenait sur une phrase et je n'ai pu en écrire plus. Impatient, sachant qu'elle était connectée en quasi-permanence, qu'elle allait et venait entre sa chambre - je crois que son ordinateur était là - et sa boutique pour servir. Autour de l'heure du déjeuné - je lui avais écrit le matin - elle avait du tomber sur mon message dans sa boite aux lettre. Le soir même, je me suis connecté avec l'ordinateur de Philippe.
-Clique sur "Connecté en tant qu'invité(e)". Là, je ne sais pas. Ce n'est pas grave. On fait comme si c'était moi, dit mon cousin.
Parmis ses contactes, j'entrais Marie-Jo. Je l'attendais comme Philippe, à côté de moi. Un cadre est apparu. Déception. C'était un autre nom : AngeMarie.
-C'est Marie-Ange, une... Copine à moi, dit-il gêné.
Il prit le clavier et lui a expliqué la situation, mon aventure, la veille. Cela l'amusait. Elle a envoyé des photos d'elle. Elle s'exhibait dans le plus simple appareil, relevant sa jupe ou son haut dans une rue. J'ai reconnu une allée. Je l'ai flattée comme elle l'éspèrait et le méritait.
Le cadre est apparu de nouveau. C'était Marie-Jo ! Philippe et Ange - elle préfèrait qu'on l'appelle ainsi - sont enragés de se voir interrompus mais je les ai invités à partager notre discussion. Je l'ai déjà dit, la jalousie est hors de sens dans la virtualité. Marie-Jo a deviné la nature de la relation entre Ange et mon cousin et a quasiment demandé les photos qu'on venait de voir.
-Tu es belle ma chérie, a t-elle écri avec tendresse. Cela plait aussi aux garçons, je suppose...
Je m'impatientais quand Marie-Jo a mentionné mon courrier.
-C'était toi ! Tu aurais-du me le dire...
Je savais que ma boulangère confondait le réel et le virtuel, mais j'étais loin de penser qu'on pouvait l'aborder ainsi après s'être raconter pendant des semaines des fantasmes inouis !
Le lendemain, Philippe, Ange et moi sont allés rendre visite à la boutique de Marie-Jo. Elle a peu de clients le samedi comme elle a dit la veille. Elle nous a fait monter à l'étage pour nous montrer son ordinateur. J'ai reconnu un bout de sa chambre. Elle regardait son mari dormir en chien de fusil, avec un air éteind. Ange est entrée dans la pièce. Elle s'est mise à genoux. Marie-Jo n'aurait rien fait contre qui le dérangerait. Elle fit le tour et s'est assise sur le bord. Philippe et moi ont franchi le seuil. Marie-Jo a posé sa main sur la cuisse de Serge, comme entre époux. Il a ouvert les yeux, les bras replié sous son oreiller. Sentant une présence, il se retourna pour voir la jeune-femme. Elle portait un tailleur court, beige, des lunettes rondes et colorées et sa coiffure blonde était rassemblée en une tresse qui remontait sur son crâne.
Ange semblait ne pas comprendre que Serge était avec des inconnus. Elle a posé sa paume là où Marie avait la sienne. Hebêté, il a laissé la blonde mettre sa main à l'entre-jambe. La boulangère, gênée a enlevé la main de la jeune-femme, mais met la sienne au même endroit un court instant. Ange a dégagé la fermeture et a coulissé la fermeture. Serge a cru replonger dans un rêve. Tout, comme en virtuel, y est autorisé. La blonde extirpait le sexe du boulanger, sur le dos, et a fait frétiller sa langue dessus. Elle a dégagé le méat, lèché le bout humide, aspiré le gland et l'a fait grossir avec un léger va et vient.
En amazone sur le lit, Marie-Jo regardait cela. J'ai fait le tour. Elle s'est tournée pour me voir. Elle a enlevé sa veste rose et son chemisier. Le soutien-gorge généreusement garnie, la boulangère débouclait ma ceinture, descendait mon pantalon. Ses doigts se sont glissés dans mon slip et l'ont baissé. Mon sexe, liberé, a jailli. Marie-Jo s'est approchée de moi et ses lèvres ont pincé timidement le bout de ma verge. J'ai passé ma main dans sa chevelure blonde et elle m'a avalé sur toute ma longueur. J'ai vu Serge la regardé un instant, puis a carressé la nuque de la jeune-femme.
Philippe s'est approché à son tour et se mit à genoux à côté d'Ange. Elle a couché son buste entre les jambes du boulanger. Il appuyait sur la tête de la jeune-femme qui suçait ardemment le membre généreux. Mon cousin, de sa main gauche, a remonté la jupe de sa copine, a écarté son slip et a titillé ses lèvres humides. Ange s'est mise debout, à retiré son corsage tandis que Philippe baissait sa culotte. Serge a ôté son pull qui a liberé sa poitrine velue dont la jeune femme s'est delectée. Elle a coincé et excité la verge entre ses seins fermes et ronds, puis elle a mêlé sa langue avec celle du boulanger.
Marie-joe allait et venait tout près de mon ventre alors que mon sexe était gros. Assise sur le lit, elle s'est tournée et a vu Ange sur son époux, nus. Comme par générosité, la boulangère s'est couchée et a redressé le membre de son époux pour le présenter entre les lèvres de la jeune-femme. Celle-ci s'est empalée sur lui, naturellement, comme aspiré.
Philippe est venu à côté de moi et Marie-Jo l'a déshabillé avec un sourire débarassé de complexe. Les seins magnifiques à l'air, elle nous a sucé l'un après l'autre, puis nous deux ensembles. Elle est ensuite allée à quatres pattes vers le postérieur d'Ange. La boulangère a posé un baisé au sommet de la raie, a écarté les fesses de ses ongles vernis et a caressé l'anus de la pointe de sa langue. Marie-Jo a pénetré la jeune-femme de son majeur orné d'une bague dorée.
Mon cousin s'est rendu au bout du lit et moi derrière Marie-joe. Philippe s'est agenouillé et regardait la boulangère enfoncer ses phalanges dans la chaire mouillée d'un peu de salive, le menton posé au fond de la vallée crée par les fesses d'Ange. Marie-joe sentait le membre de son mari au travers de la paroie. Philippe a introduit son majeur et son index, a écarté l'orifice de son amie. Marie-Jo a attrapé son membre et lui a redonné de la vigueur avec un va-et-vient.
De mon côté, j'ai coulissé la fermeture de la jupe rose de Marie-Jo, l'ai descendue, ainsi que sa culotte. J'ai glissé mon sexe dans la fente chaude et humide, pénétré son vagin jusqu'au bout de moi-même. Philippe a appuyé son sexe sur les lèvres de la boulangère qui posait sa joue sur la croupe d'Ange. Ses lèvres ont enlacées l'organe vivace.
-Mouille bien Marie-Jo, dit mon cousin, je vais enculer ma copine...
Philippe s'est retiré, un long filet de bave reliait la tête de sa verge à la langue de la boulangère, et enfonçat celle-ci entre ses doigts ouvrant l'anus d'Ange. Elle a émi un long grondement, a redressé ses fesses. Mon cousin ne pouvait pas entrer davantage. La boulangére a roulé sur sa joue et a craché une nouvelle fois sur le membre de Philippe. Il s'est couché sur Ange, s'est agrippé aux épaules et a forcé l'entrée de son anus. D'un coup, il se retrouva en elle. Ange a crié.
Plus tard, je me couchait sur le lit à côté du trio qui se débattait furieusesement. Marie-Jo vint sur moi et Philippe continuait sa sodomie avec elle. Ange s'est retournée, s'est ampalée sur Serge et se régalait avec le membre dans son cul.
J'ai prévenu Marie-Joe de l'imminence de ma jouissance. Philippe s'est redressé sur ses genoux, elle de même. La boulangère constatait l'état de nos membres, les a pris en main et, instinctivement, les massaient au-dessus de sa poitrine généreuse.
Serge et Ange se sont trouvés dans la même situation.
Philippe et moi, de nos méats dilatés ont jailli notre semence qui s'est abbatu sur la gorge de Marie-Jo. Voyant cela, son mari est venu déposer sur sa bouche quelques perles apparaissant au bout de sa verge.
Après cela, nous sommes restés la têtes des uns sur le bras des autres, couchés, nus. Marie-Jo entre moi et son époux, flanqué d'Ange puis de Philippe.